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8 août 2011 1 08 /08 /août /2011 16:05

La fête du feu

 

LE RAYONNEMENT

 

Chanharshanbeh Suri (Mercredi de feu) est fêté nationalement par la communauté du peuple Iranien le dernier Mercredi de l'Année, premiers pas vers le printemps, NOROUZ, le nouvel An persan. C'est sur ce fond de déroulement d'un ensembles de rites devenus populaire, de la religion des perses (période Pré-islamique de Persépolis) Zoroastrien-Mazdéennes datant de 1725 avant J.C que le réalisateur et cinéaste Iranien ASGHAR FARHADI déroule son drame dans ce long-métrage (2006) appréciable d'une durée de 102 minutes (Prix spécial du jury pour le meilleur scénario au Festival des 3 continents de NANTES, le Gold-Hugo du prix du meilleur film du festival international de CHICAGO de cette même Année) reprit dans les salles le 27 juillet 2011, après les gros succès de ses deux précédents films : À PROPOS D'ELLY (2009) Darbareye Elly, 104 minutes, Ours d'Argent du meilleur réalisateur au festival international du Film de BERLIN, meilleur film (festival Américain de TRIBELA) 300 000 entrées en FRANCE et plus de 500 000 pour UNE SÉPARATION (2010) Jodaelye Nader Az Simin, de 123 minutes, Ours d'Or et d'Argent, meilleurs acteur et actrice (Berlinale 2011 soixante et une nième édition).En cette fête du feu, une jeune domestique, ROUHI (Taraneh ALIDOUSTI) employée de ménage est proche de se marier. Elle vient d'un milieu d'ouvrier et se rend en plein centre de TÉHÉRAN où elle tente d'effectuer son travail chez un couple de classe moyenne, au milieu des festivités locales de CHAHAR SHANBEH SOURI. Arrivée à l'appartement où elle doit  effectuer le grand nettoyage traditionnel de maison (KHANEH TAKANI), le ménage qui l'emploie est alors en pleine crise, MOJDEH (Hedieh TEHRANI) soupçonne son mari, MORTEZA (Hamid FAROCHNEZHAD) de la tromper avec une coiffeuse SIMIN (Pantea BAHRAM) à domicile, proche voisine. De cette journée ROUHI perdra sa naïveté et son innocence face à certains aspects de la vie conjugale. Ce film formidable pleins de suspenses est un constat saisissant sur les conflits qui règne entre les êtres humains et l'acharnement qu'ils ont de relativiser en justifiant leurs actions par le mensonge, la jalousie manipulatrice et la trahison de la vérité, jusqu'à nous en faire douter de son existence. Ce qui nous amène à décrire le symbolisme réellement puissant et actif des déroulements de CHABÉ TCHÂHA CHANBÉ SOURY qui sert d'édifice, en partie sous-jasent, de ce film, une guerre sans pitié entre les forces antagonistes terrestres et célestes décrites par le prophète ZARATHOUSTRA dans les GÂTHÂS, les hymnes liturgiques (MI'RAJ) qu'il à rédigés pendant ses visions Saintes, extatiques et surnaturelles. Pendant le déroulement de CHAHARSANB-SOORI (rouge), on dispose sur une nappe blanche immaculée (couleur du lait de la pureté des intentions) qui décore la table familiale dans un espace consacré aux entités supérieures, le Sôfreh (Sofre ou nappe de NOWRUZ qui représente les épreuves de ESFANDIYÂR vers la Sainteté) , les sept SÎNS qui sont les sept éléments naturels et comestibles dont les noms commence par la lettre Solaire SÎN de l'alphabet persan. Cette nappe de Nowruz peut être de couleur verte signe du lignage prophétique de MAHOMMAD chez certaines communautés (Shiite). Le Sôfreh de "Haîte sine" des 13 jours de NOWRUZ accueille les sept nourritures terrestres spiritualisées, qui sont : 1) SABZE ou Sabzi, des graines de blé ou de lentilles qui ont germées en début du moi de MARS dans une assiette ou un bol, dont on coupe l'herbe naissante à une hauteur égales. Ces fines herbes représente le renouveau et la prospérité, la montée de la sève. 2) SAMANOU ou Samannu (HALVA), des gâteaux à base de pâte de farine et de jus de germes de blé. ils représentent la fertilité. 3) SIR, des gousses d'ail non séparées (tête d'ail), représente la médecine purificatrice contre la maladie provoquée par le mauvais oeil, la sagesse d'AHURA MAZDÂ (Ohrmazd) contre AHRIMAN (Angra Mainyu). 4) SIBE ou Sibe, une ou des pommes sauvages (Pyrus Malus), représente la beauté naturelle de "notre Monde". 5) SOMAGH ou Sumac, des épices (Somâq) aux couleurs du Soleil naissant à l'aube, représente la Vie. 6) SENJED des olives séchés (Zizy Phus Jujuga) ou (SENJID) le fruit du lotus. ils représentent l'Amour, le baiser des amoureux sous l'arbre du Jujubier. 7) SERKEH ou Serke (Sirkeh), du vinaigre rouge extrait du raisin noir (Angur-e Sixâ), ferment parfait, il représente la Sagesse et la patience dans l'Âge avancé (cycles). Le rouge du feu est vainqueur des noirceurs de la mauvaise pensée. Au moment du passage complet à l'équinoxe de printemps (Eid Nourouz) on couvrira les 7 S de sept (Sirôgs), des galettes en forme de disque Solaire pendant sept minutes avant d'en distribuer aux invités pour la consommation et le partage. Les 7 S sont les Âmes des réalités divines de ce Monde en guerre, ils sont les Sept puissances des Saints-immortels. Ces Sept princes de la lumière sont l'Ordre Sacré (ASHA) émané de l'incréé. Ahura Mazdâ, le Seigneur des Sagesses et les 6 Archanges (Fereshtagân) ainsi émanés de son aura (XVARNÂH), cette lumière qui constitue les six aspects de sa personne forment une troupe divisée en deux groupes d'Archanges. ils forment l'ensemble total de l'être MAZDA-DIVINITÉ, les sept AMESHAS SPENTAS, d'où fure créer à patir de la première émanation, du nom de SOPHIA ou SEPANDARMAZ le premier Amesha Spenta (Spenta Mainyu), la totalité des êtres dans la représentation cosmique du terrestre. Les Archanges masculins sont émanés de la droite d'Ohrmazd (le myrte), seigneur lumineux. 1) VOHU MANAH (le taureau solaire, MITHRA), Vahman (Bahman), Maître du monde animal, la pensée excellente (humata) vers la bonne direction (volonté). La bonne pensée (GÂTHÂ I,2). Attributs : le jasmin blanc ou la jacinthe fleurie. 2) ASHA VAHISTHA (Vahistâ), Ardwahist (Arta), Maître du monde du feu. La vérité et la justice dans leurs puretés, la bonne paroles (hukhta), l'existence parfaite (GÂTHÂ I,5). Attribut : la marjolaine. 3) XSHATHRA VAIRYA (Xshathra), Khshatra Vairyia, Maître des métaux. Le roi qui gouverne son royaume dans l'ordre et l'harmonie, la bonne action (hvarshta) vers la  justice (GÂTHÂ XIII,8). Attribut : le basilic. Les Archanges féminins sont émanée de la gauche d'Ohrmazd, seigneur lumineux 1) SPENTA ARMAITI (Sarasvati Pandarmad). Déesse et Maîtresse de la terre, l'Âme du Monde (Sophia), la sainte dévotion bienfaisante, l'humilité parfaite (GÂTHÂ XVI,21). Attribut : le musc. 2) HAUVATÂT (Nâsaty Anahita), Hordad, Hurvatat. Maîtresse des eaux, l'esprit plénitude de la sainte vigueur, la bonne santé, l'équilibre (GÂTHÂ IX,8). Attribut : le lis. 3) AMERETÂT (Amurdâd). Maîtresse du Monde végétal, déesse des plantes d'immortalité, la sève de l'esprit parfait (GÂTHÂ X,5). Attribut : la campak. Les six Archanges célestes des grands luminaires ont choisi librement de combattre les démons la nuit et du mal conduit par l'ennemie fondamental : AHRIMAN, esprit et frère jumeau d'OHRMAZD, ils se sont matérialisés sur terre pour la rénovée et accéléré le grand rétablissement de l'univers. ils sont réellement les qualités morales des membres du corps d'Ohrmazd le feu brillant, seul le feu obscure (la Druz ou Druje) du doute, Arimanius, l'essence du feu noir, le deuxième Mainyu et ses légions négatives cosmique (DAEWAS) ont chutés dans la matière mortelle (le froid) emprisonnées dans leurs fureurs. ils ont fait de la terre un ensemble physique d'éléments qui combattent leurs contraires. ils sont responsables de la confusion relativiste qui torture les humains, qui de part leurs choix suivent l'éternité brillante ou le soleil noir de la mort. L'action humaine est déterminante pour la victoire de la vérité lumineuse (l'Âmevital) du feu. Pendant ChaharShanbeh Souri et sa veille, le mardi (SEHSHABEH), les iraniens et les mazdéens allument de grands feux dans les rue et sautent au-dessus d'eux aux travers des flammes en criant " Sorkhi é to az man, sardi éman azto" soit : "ton rouge pour moi, et mon jaune à toi !" Le rouge du brasier réactive les corps fatigués par la période hivernale dont la faible lumière à pris un ton jaunâtre sur leurs peaux. Certains plus avisés construisent sept petits buchers de Sarment ou 7 fagots de rameaux secs de petit bois, fait de 7 branches de Saule, Grenadier ou d'Olivier. ils sont à la fois les sept branches de l'arbre (vie) cosmique, le GAOKERENA des Aryens et les sept Archontes du Mal lorsque celles-ci sont noueuses. Les noms des membres du corps noir d'Ahriman sont : 1) Aghrô-Mainyas, lui même. 2) Akoman (Akamanah) Aêshma. 3) Indar-ithyejah. 4) Naonhaithya (Nanghait) Nâonghaithya. 5) Sawar, (Saurva). 6) Tauriz, (Taromaiti) Tauru, Taurvi. 7) Zariz (Zarich) Zairichâ (Azi), leurs coeurs noir (fils) sont 1) Âzhi Dâhâka, 2) Naçu (Nasu), 3) Bûshyâçta, 4) Jahi (Saqtoufa), 5) Agha Daoithri, 6) Penjâgrâ, 7) Taprev (Phirikua). Les participants au festival du feu bondiront sept fois au-dessus des flammes vigoureuses en souvenir de l'acomplissement des sept anciens degrés d'initiations s'implifiés des mystères de MITHRA (le pacte d'ami), soleil invaincu, la danse des Astres des saintes et parfaites pensées : 1) Le père (Saturne), l'autorité (la patience) 2) Le courrier d'Hélios (Soleil), l'écriture (le savoir) 3) Le perse (la Lune), la patrie (la prospérité) 4) Le lion (Jupiter), l'accomplissement (la beauté) 5) Le soldat (Mars), la vigilance (la santé) 6) L'époux (vénus), le mariage (la famille) 7) Le corbeau (mercure), la transmition (la lumière).  On brûle chez soi des semences de riz (Polo, Ada-Tahdig) et de l'encens Oliban (Kondor) en prévision de la visite des esprits des défunts (Pitris) et des fantômes familiaux, une bougie seras allumée par enfants présents pour chasser les mauvais esprits. Chaque membre de la famille se contemple dans un miroir, formule un voeu personnel après s'être aspergé d'eau de rose à sept pétales, des oeufs peints de différentes couleurs et décorés de motifs fleuries (renouveau) servent d'offrandes aux invités. Les femmes auront soin d'évitées de respirer la fumée pendant la préparation des repas. Les vapeurs noire produites par Âzhi Dâhâka le fils d'Ahriman sont la visialisation des ténèbres mensongères (Drujes). Celles qui ne sont pas mariés, écouterons (le Fâl-é Goush) par malice les commérages (gheybat) des passants dans la rue pour deviner les noms des hommes célibataires et disponibles.  Des feux d'artifices sont tirés en place publics et les enfants produirons du tonnerre avec de gros pétards (véritables armes meurtrières), ou l'éclair d'ATAR fils d'Ormazd pourfend la nuit tombée, ils iront de maison en foyer frappant des casseroles ou des boites de conserves à l'aide de cuillères pour quémandés des fruits secs (abricots, dattes, raissins, pistaches etc..) et autres bonbons. Arrive le dernier jours de l'année, près pour le changement (SOLH TAHVIL), on célébre SEPANDARMAZ. Les familles se procurent un bocal ou vase rempli d'eau contenant des poissons rouge vivants, ceux-ci indiquent que le soleil quitte l'ancienne Année (Esfand, Spentayâo-Armatôi) du Poisson (NOUNO) pour rentrer dans celui du Bélier (Favardine, Fravashinâm). Mais le poisson n'est pas qu'un signe Astrologique Zodiacal, c'est le symbole incarné du métal liguide, le feu rouge des Enfers (Sandaramet) du jugement dernier et l'instinct vital en mouvement des 10 poissons qui gardent l'Arbre de vie. Le fête de SPENTA ARMAITI (Spandarmat), fille d'Ormazd, célébre la gloire de la lumière terrestre et céleste de HÛRQALYÂ (chiite). Sfandarmoz, ceinturée d'or (Spandama), la vertueuse Déesse de la terre et sagesse divine (SOPHIA) dont les IRANIENS (Ariya-êrân) disent : " j'ai pour mère, l'Archange de la terre et pour père Ohrmazd, le seigneur sagesse" est le premier(e) Archange (Haftesine) émané, mère de KAYUMARS (Goyomart) son fils qui se divisa en sept métaux. Contemplant le plus brillants, l'or, elle le posséda pour en façonner un germe, la trois fois brillante étoile SIRIUS, qu'elle fertilise avec le charme des eaux Persanes (lettres) pour en faire pousser une herbe (Rhubarbe) d'ou émergera le premier couple humain (Mashya/Mashyane). La fille de la terre (Spanddât) gardienne des bergers, reine des sept KESHVARS (Karshvars) les régions matérielles et mystiques rénovées dont les six (1 Arezahi, 2 Fradadhafshv, 3 Vîdadhafshv, 4 Vourujaresti, 5 Vourubaresti, 6 çavahi) parties tournent autour de son centre  XVANIRATHA, la grande roue lumineuse et étincelante du char brillant (Qaniratha Bâmya) qu'est le berceau des Iraniens (Airyanems), les ARYENS. Les 7 métaux engendrent à leurs tours les sept esprits (éther) d'où naissent les 7 fils du mouvement des temps (les sept grands Âges du Monde) qui sont : l'or (Vistap), l'argent (Artaxse), le cuivre (Aturpat), le bronze (Valagas), l'étain (vahrâm Gor), l'acier (Xosrav), le fer (Spitaman Zartust). Les festivités continues jusqu'a l'arrivé du premier jours de printemps, qui tombe un 21 Mars de notre calendrier, la grande fête nationale du pays persan, le nouvel An du peuple Iranien, 1er Farvadine (DADHV) de leur almanach, NÔROUZ (No, nouveau-ROUZ, jour). Cette grande réjouissance de NAWRUZ dure 13 jours. On met le couvert pour savourer le plat traditionnel de la glorieuse équinoxe de EID NOUROUZ, le Sabzi Polo Va Mahi (du poisson blanc cuit et accompagné de riz aux herbes hachées (persil, échalotes vertes, aneth, coriandre) marriner dans une sauce au beurre safrannée, arrosé de jus d'oranges amères). il est de coutume de lire et méditer des passages du livre des Rois (le SHAH NÂMEH) du grand poète Persan ABOU'L KASIM FIRDOUSI (Ferdowsi, 940-1020) et boire du thé. On visite aussi les cimetières pour honorés les Anciens et les êtres que l'on aime. Les fidèles de la lumière et les Mages rendront gloire par différents rites (froid et chaud) au trône de Ahura-Mazda (GARÔNMÂNA) le 26 Mars, fête de KHORDAD SAL la naissance de ZARATHOUSTRA, puis vient l'EID Didani, les visites traditionnelles du nouvel An en famille, des proches et des voisins amis. On offre de la jacinthe ou des tulipes rouges, c'est la distribution des cadeaux (EIDI). Un personnage vêtu de rouge et chapeauté d'un long cônes pointu, apparait dans les rues des villes, dansant et frappant un tambourin, jouant de la trompette, il représente YIMA le premier homme (YANA-MASHYA), fils de VIVAHVANT, une des premières émanations du couple primordial. Ce roi du carnaval de NOW-RÛZ se noircit le visage, car il est le premier roi des INDO-IRANIENS, une émanation souterraine d'ANÂHITA (eau). Cette fête (NO' ROU) est festoyées par 78 millions d'Iraniens et plus de 271 millions de personnes à travers la planète (Inde, Chine, Canada, Europe, Albanie, Azerbaidjan, Turkménistan etc..), elle est inscrite sur la liste de l'UNESCO du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Au treizième jour (SIZDAH BEDAV)  des festivités, on démonte et retire le HAFH SIN, le blé germer (Sabzeh) est jeté dans un courant d'eau, toutes les mauvaises actions ont été aimantées par l'herbe domestique, les poissons rouge sont remis en rivière ou dans les bassins. C'est le temps du chaos. Pour réinstaller la lumière à Bédar Sizbeh et conjurer ce mauvais chiffre (il y a sept émanations bienheureuses, Spentas Mainyu, mais elles sont jumelles, leurs doubles malfaisantes, Ahras Mainyu, et mortelles sont ordonnées par l'esprit menteur Ahriman. En ôtant son nom des 14 émanations (Archanges) en luttes, on repousse le Mal de la nouvelle Année), les familles et les couples mariées quitteront leurs demeures et iront pique-niquer près d'un ruisseau ou d'un grand arbre. En cette journée de communion avec la nature où l'ensemble des forces naturelles sont rassemblées, on prend avec soi, quatre gâteaux blancs qui représentent les quatre étoiles STÂRAGS : 1) Tistrya qui couvre l'ORIENT, 2) Çatavaeça, l'OCCIDENT, 3) Vanant, le SUD, 4) Haptoiring, le NORD, puis en tenant trois pièces d'Argent dans la mains droite et un petit faisceau de Basilic dans la gauche, on récite une bénédiction envers le ciel , les deux pieds submergés dans un cours d'eau. C'est invoqué les FRAVSHIS (Forûhars), les Anges gardiens qui émanent de l'Âme du guerrier URVAN auprès des fidèles de la lumière, pour aider quiconque les aimes, à surmontés les obstacles vers le chemin parfait où l'oeil (HVARE) du soleil sidéral resplendissant de Milles milliards d'éclats éternels oeuvre pour l'agencement de l'Âge d'Or (Saoshyant). Le réalisateur de TCHAHAR CHANBEH SOURI, Asghar Farhadi dit pour son film : " de nos jours et en temps difficile et complexes, la tragédie classique qui elle résultait du conflit entre les forces du Bien et celle du Mal. A l'époque, le publique aspirait naturellement au triomphe du Bien, mai ce n'est plus le cas aujourd'hui. Le public est incapable de joisir son camps et ne sait plus qui doit sortir vainqueur de cette lutte." Noûs nous avons choisi notre camps, celui du BIEN, faîte le Bien. HUMATA HUKHTA HUVARSHTA !

 

Dossier de Presse : Les films du paradoxe 2006.   Les Gathas : Le livre sublime de Zarathoustra  KHOSRO KHAZAI PARDI Albin Michel 2011.  Éric PHALIPPOU Aux Sources de SHÉHÉRAZADE contes et coutumes des femmes Zoroastriennes ACTA IRANICA Encyclopédie permanente des études IRANIENNES 2003.  Ioan P.COULIANO Les GNOSES Dualistes d'Occidents PLON 1990, Le Zend-Avesta (3 volumes) Annales du Musée GUIMET (tomes 21, 22, 24,) James DARMESTETER Adrien-Maisonneuve 1960. Georges DUMÉZIL Les dieux des Indo-Européens PUF 1952.  Le Magazine PARSIANA (Années 2004-2010) et ses publications. Monique ZETLAOUI Ainsi vont les enfants de ZARATHOUSTRA : Parsis de l'Inde et Zartushtis d'Iran IMAGO 2003.

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