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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 17:09

Le Square Du Vert-Galand et Les templiers

 

L'ATROCE SECRET

 

Première partie : En empruntant à partir des anciens grands magasins de "la samaritaine" (1870) du Ier arrondissement de Paris, le Pont-Neuf (1578) pour traverser la Seine et rejoindre le quatrième arrondissement, on accède par un escalier descendant, situé en son milieu, à proximité latéral de la statue (1818) équestre du Roi Henry IV (1553-1610) dont le ventre du cheval cachait en son intérieur sept boites en plomb découvertes en 2004 et contenant des manuscrits relatant son acheminement et sa mise en place, face à la vue du pont des Arts 1981), au Square du Vert-Galant (1884), la partie ouest et occidental en forme de pointe de l'île de la Cité. Après la dernière marche en se retournant devant le pont, on n'y distingue, fixée sur sa façade central (pilier) en dessous de sa bordure composées de mascarons, des masques de fauves grotesques sculptés dans du Lutétien de l'Aisne (une roche calcaire), une grande plaque commémorative en bronze qui rappelle aux visiteurs et curieux, l'endroit où fut brûler le 18 mars 1314, Jacques De Molay (1294-1314), dernier grand Maître de l'Ordre des Templiers. Si l'on se dirige à l'opposé du quai de l'horloge vers le coté en pente de la rive droite de l'île (à gauche de l'inscription évocatrice), autrefois nommé l'île aux juifs, anciens lieux de supplices (1183) pour de nombreux israélites que l'on cuisait nus jusqu'à la mort sur des monticules de braises incandescentes, pour rejoindre le contre-bas de sa berge fouettée par la Seine. En longeant le contrefort du square, on sera surprit de découvrir la présence hideuse et proéminente de crâne dolichocéphales, sortent avec force à cinquante centimètres de hauteur du sol de la paroi du mur grisâtre du petit jardin publics. Deux horribles têtes de morts, qui semblent se déformées par la douleur qui les ronge. Des figures de crânes allongés et mystérieux, ignorés des touristes et autres promeneurs. les orbites vides de leurs faces tourmentés, nous interpellent sur la signification de leurs présences dans l'île. il faut donc remonté à l'histoire des croisades pendant le haut-moyen-âge, pour comprendre l'étrange manifestation des deux apparitions macabres sur cet archipel (îlots à La Bourdaine (frangula-alnus) et aux Judaeus) prisés des couples romantiques. La Milice des Pauvres du Christ et du Temple de Salomon, était une confrérie chrétienne et militaire fondée en 1118 par son premier maître, Hughes De Payent (1074-1130), un champenois de France, seigneur et chevalier laïcs dans le Salut. Après avoir prononcé avec deux autres compagnons d'armes (Geoffroy de Saint-Amour et Hugue Ier de Champagne) des engagements religieux (pauvreté, chasteté, obéissance) auprès du Patriarche latin du royaume franc de Jérusalem (Gormond (garimond) de Picquigny(1080-1128) afin de veillé à la garde du Saint-Sépulcre, la tombe sacrée où fut déposé le corps du Christ-seigneur de l'univers, de se consacré à la protection des États-latins chrétiens d'orient contre l'invasion et de leurs profanations par les païens de Syrie et d'Egypte, d'escorter les foules de pèlerins d'occident sur les lieux saints de dévotions en Palestine. il regroupa sept autres noble et chevaliers-croisés craignant dieu qui firent de même à leurs entrés dans la communauté d'associations des soldats du christ au temple. Le roi Baudouin II (1087-1131) leur céda une petite partie de ses habitations, un enclos situé au sud du mont Moriah à proximité de l'emplacement des antiques fondations du Temple (beth hamikdach) conçu par l'architecte bronzier, Hiram de Tyr et bâtit par Yedîdyâh, le roi Salomon (shlomo) fils de David et de la sagesse parmi les hommes. C'est pour cause à cet endroit que les chevaliers de la milice prirent le nom de Templier (ordinem-milicie-templi). Les moines-soldats reçurent une parcelle importante d'un terrain proche, appartenant à des Chanoines réguliers (ordre du Saint-Sépulcre), abritant selon une légende, l'Arche d'Alliance (2 chroniques 35:3, 2 maccabées 2-8) cachée dans une chambre secrète ensevelie sous terre. C'est le croisé, un comte d'Anjou, Foulques V (1092-1144), qui deviendra roy chrétien de jérusalem (1131-1143), en visite à l'ordre pour apporter son soutien financier, découvrit l'existence de cette cache sacrée. L'ordre des templiers fut reconnut officiellement par le Concile de Troyes (1128). La première règle des observances templières fut rédiger par le moine Cistercien, Bernard de Clairvaux (1091-1153). En 1139, la Papauté et le clergé séculier, l'approuva. L'ordre militaire et ses propriétés furent placée sous la protection du souverain pontife romain (Innocent III (1160-1216). de retour en Occident, en quelques années, la chevalerie du temple de salomon vas connaître une rapide et formidable expansion dans toute l'Europe chrétienne, grâce à un recrutement intensif parmi la noblesse, acquérant et recevant des dons fonciers considérables, puis bâtissant plus de 800 commanderies (donus templi) fortifiées et autres réseaux d'églises, de chapelles, châteaux, monastères, juxtaposés d'exploitations agricoles, qui se développerons sur tout le territoire Franque, avantager par de grands privilèges juridiques et ecclésiastiques, ne payant ni impôt ni taxe, gérant en banquier les biens de l'église de Rome et ceux des rois de terre chrétienne, devenant gardien des trésors royaux, héritant de dons et de legs conséquents de toutes sortes, perfectionnant leurs structure militaire pendant de très nombreuses batailles, possédant de multiples acquisitions au Proche-Orient, l'armée du temple de salomon (milites templi salomonis) est devenue en l'espace de deux siècles, une puissance politique prestigieuse, disposant de plus de 1690 chevaliers-croisés et 25000 hommes de combat. Mais accumulant les richesses pour se constituée par l'usure, un ensemble de capitaux impressionnants sujet à la transaction financière, elle attire la jalousie et la convoitise d'une multitude de comploteurs en tous genres. Depuis 1185 dans le comté du Languedoc, pays de l'Occitan, d'horribles rumeurs circulent contre les guerriers blancs du Seigneur. Le royaume en son entier, se remplit d'un vent nauséeux de suspicions et d'ignobles calomnies à leurs en-contres. le 2 octobre 1187, la jérusalem latine tombe face aux envahisseurs sarrasins conduits par leur chef, Saladin (salâh ad-dîn (1138-1193), un kurde musulman. En 1244 tous les chrétiens qui y résident se font trucidés. Le 16 mars de cette année, trois cents membres (femmes et enfants) de la communauté des Bons Chrétiens, les Cathares, des dualistes végétariens, sont brûlés vifs, pour hérésie, sur des monticules de fagots de pailles embrasés devant la forteresse du château de Montségur en Ariège (09). En 1291, c'est la chute, pendant son siège du 18 mai, de la ville de Saint-Jean d'Acre. Les forces chrétiennes sont massacrées et chassées de Palestine par les milices Turcs (mamelouk) d'Egypte. Le 28 mai de cette même année, la citadelle d'Acre s'écroule. La perte de la terre sainte est irrévocable et annonce l'effondrement des États-Latin d'Orient, déjà fortement amoindris. La bataille est perdue, le Temple est brisé. C'est l'exode des fidèles du Seigneur et de son peuple. La cavalerie du temple, Hospitaliers et autres guerriers teutoniques, sont en déroute et signes malgré eux, la fin des saintes croisades. Guillaume de Beaujeu (1258-1291), un bourguignon, vingt-et-unième grand maître de l'ordre meurt avec dignité pendant les combats. De retour par bateaux avec les rescapés de la populaces blessée sur la terre d'Occident, les courageux soldats et chevaliers templiers sont parfois insultés à voix bases, avec mépris et accusés d'avoir abdiqués et abandonnés le Saint-Sépulcre (al-aqsa) en la jérusalem terrestre aux mains des mécréans, pour protégés leurs fortunes en négligeant par leurs actions égoistes, le soutien charitable aux civiles pendant la débacle, voir de s'être alliés avec les infidèles. Un certain nombre de fantassin du temple se sont repliés après la capitulation, sur l'île chrétienne de chypre. C'est sur ce petit territoire méditerranéen, berceau de la naissance d'Aphrodite (ishtar) que Jacque de Molay (1247-1314) fut élu par l'assemblée général (chapitre), 23ème Maître de l'ordre en 1292. il était présent discrètement tout en guerroyant vaillamment lors de la défence d'Acre, l'épée à la main et le sceau secret de l'arche très-sainte cloué sur son (baudrier) ceinturon : une tête de mort fixée sur une croix pattée rouge-d'or, portant l'inscription des coordonnées topographiques de l'emplacement du coffre de l'alliance céleste. L'ÎLE DES TEMPLIERS II

 

La Mort Des templiers ©the-visionnaire tous droits réservés

 

Un mystérieux dolichocrâne au square du Vert-Galant à Paris.

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